l’art de vivre en mars
Belle époque
l’art de vivre en mars
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exposition
Embarquement immédiat
Direction la piscine-péniche Joséphine Baker, pour une exposition de sculptures.
Un évènement mêlant art et sport, dans un lieu qui sera aux premières loges de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024. En partenariat avec le sculpteur François Pernette, une trentaine de sculptures en buis centenaire s'installent dans la piscine.
L'exposition fait dialoguer les corps en mouvement des nageurs et les sculptures, en jouant de la lumière et des reflets sur l’eau. François Pernette, qui a donné naissance à des personnages imaginaires sculptés dans des essences nobles, souhaite ainsi générer des émotions chez les visiteurs à travers des rencontres.
Cerise sur le gâteau, c'est gratuit et cela donne l'occasion de faire quelques brasses dans la piscine.

Du 1er au 17 mars 2024, Piscine Joséphine Baker
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théâtre
Le Montespan
En 1663, Louis-Henri de Pardaillan, marquis de Montespan, et Françoise de Rochechouart tombent fous d’amour et se marient. Les dettes s’accumulent et le Marquis doit absolument s’attirer les bonnes grâces du Roi Soleil. Il part donc en guerre pour Louis XIV, et se réjouit durant son absence que Françoise soit introduite à la cour. Mais c’est sans compter sur les appétits du roi pour sa tendre épouse. Il déclare une guerre sans relâche contre le monarque, refusant toutes faveurs attachées à sa condition de cocu royal, et allant même jusqu’à orner son carrosse de cornes gigantesques…
Découvrez cette pièce adaptée du roman historique de Jean Teulé, ayant par ailleurs reçu le Grand Prix du roman historique l'année de sa publication. Dirigé par Etienne Launay, "Le Montespan" réussit à parfaitement dépeindre les réalités et les complexités de la cour royale au 17e siècle. Un spectacle à ne pas manquer pour découvrir comment le Marquis de Montespan est devenu l'un des premiers personnages historiques à contester la légitimité de la monarchie absolue.

Théâtre Actuel de la Bruyère, jusqu’au 29 juin 2024
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film
ANATOMIE D’UNE CHUTE
C’est bien connu, lorsqu’une personne meurt dans des circonstances troubles, le conjoint ou la conjointe est toujours la première personne suspectée. Mais qu’arrive-t-il quand les dites circonstances rendent aussi crédibles l’une comme l’autre la thèse d’un suicide et celle d’un homicide ? C’est ce qu’a imaginé la cinéaste Justine Triet dans son film lauréat de la Palme d’or, Anatomie d’une chute : un drame judiciaire auquel elle a ajouté moult brillantes complications.
L’intrigue a pour protagoniste Sandra, une autrice renommée qui vit à la montagne, non loin de Grenoble, en compagnie de son mari, Samuel, un écrivain raté, et de leur jeune fils, Daniel, qui est malvoyant.
Un jour, la dépouille de Samuel est retrouvée dans la neige, tout près de la maison. Le défunt s’est-il défenestré en sautant du grenier ? S’est-il jeté en bas du balcon, en surplomb ? Les policiers enquêtent, les experts expertisent… mais aucune certitude n’est dégagée. La suspicion envers Sandra n’en va pas moins croissant. Le dénouement venu, on croit être fixé, et puis non. Ce serait enrageant si ce n’était pas aussi brillant, écrivait-on.